jeudi 5 janvier 2012

Le "cauchemar numérique" hante les hôpitaux !

Salut à tous,   

   Du site Le Monde.fr, voilà un commentaire intéressant et d'actualité, et qui touche l'ensemble des populations lorsque vient le besoin d'obtenir des services de nos hôpitaux :

   ¨Des chirurgiens qui téléphonent pendant leurs interventions. Des anesthésistes qui utilisent l'ordinateur du bloc opératoire pour faire du shopping sur Internet. Des infirmières et des médecins qui envoient des textos en surveillant une circulation extracorporelle ou même une intubation... A l'hôpital comme ailleurs, les smartphones, ordinateurs et autres tablettes tactiles font désormais partie du paysage. Mais leur usage compulsif dans des endroits aussi sensibles que les salles d'opération ou les unités de soins intensifs inquiète les spécialistes.

   "Aussi grotesque que cela puisse paraître, le cauchemar numérique est de plus en plus une réalité dans les hôpitaux à travers le pays et le monde entier, écrit ainsi le docteur Peter Papadakos, anesthésiste à l'université de Rochester (Etats-Unis) dans une lettre parue, en novembre, dans le mensuel Anesthesiology News. Malheureusement, nous n'avons pratiquement aucune donnée concernant les conséquences de cette distraction électronique sur la productivité des professionnels de santé et leur zèle lors de tâches répétitives."

  Dans les années 1970-1980, raconte-t-il, les soignants étaient peu distraits de leurs tâches et se focalisaient sur leurs patients, collectant directement les informations les concernant. Aujourd'hui, des ordinateurs s'interposent en permanence entre eux. L'informatisation des dossiers médicaux peut apparaître comme un progrès, mais ce n'est pas parce qu'un professionnel de santé scrute un écran qu'il est en train de travailler, relève le docteur Papadakos. Et de citer une enquête menée dans des blocs opératoires à Nashville, récemment présentée au congrès de la Société américaine des anesthésistes. Plus de la moitié des infirmières et médecins anesthésistes, même s'ils se savent observés, sont ponctuellement absorbés dans des tâches qui n'ont rien à voir avec la surveillance de leurs malades, la plus populaire étant la navigation sur Internet¨... (Lire la suite)

http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/12/30/le-cauchemar-numerique-hante-les-hopitaux_1624153_3244.html

Pégé

HP Pavillion a6700f / Windows 7 Familiale / Mandriva Spring Free 2,010 LTS/ Uniprocesseur libre / Windows XP Professionnel / Linux Mint 9 Isadora LTS/ Mac ¨Tiger¨, version 10.4.11

dimanche 1 janvier 2012

Sécurité : Détournements, escroqueries : éviter les pièges sur Facebook !

Salut à tous,  

   Eh oui, je viens de découvrir un autre article instructif sur Facebook...la rançon de sa popularité, et comme partout d'ailleurs, là où il y a un moyen de frauder, il y a quelqu'un qui essaie d'en profiter !

    Du site Le Monde.fr, un commentaire que les inconditionnels de Facebook seraient justifiés à lire, et même, à relire :

¨Sur 800 millions d'"amis" de Facebook, tous ne sont pas forcément très honnêtes. Grande popularité et réservoir incroyable d'utilisateurs obligent, "la manière dont les informations sont échangées et/ou protégées dans ce type d'environnement est devenue l'un des principaux enjeux de la sécurité des données", explique l'éditeur de solutions de sécurité BitDefender, qui a publié cette semaine un livre blanc sur les arnaques les plus répandues sur Facebook.

   "LES MENACES SOCIALES DU NET"

Selon l'éditeur d'antivirus, les escrocs se basent essentiellement sur la curiosité des internautes et jouent sur le "capital confiance" qu'ils accordent à leurs contacts. Sachant qu'un utilisateur compte en moyenne 130 "amis" sur le réseau social, les utilisateurs malveillants s'assurent d'une diffusion exponentielle de leurs arnaques. Leurs escroqueries utilisent principalement quatre types d'attaques :

Le détournement du bouton "J'aime" ou "like-jacking"

   Un lien, le plus souvent vidéo, au titre racoleur et un clic suffisent. A son insu, l'utilisateur découvre par le biais d'un message sur son mur qu'il a "aimé" le contenu de ce dernier. En réalité, un script Java a installé un bouton "J'aime" invisible sous le lien "voir la vidéo". Cette arnaque bénéficie d'une portée d'autant plus importante que Facebook a amélioré la dimension virale du bouton "like", en lui conférant une dimension semblable à celle de la fonction "partager". En d'autres termes, tous les "J'aime" d'un internaute s'affichent désormais sur son mur avec une vignette et une brève description, crédibilisant d'autant plus le lien. Bitdefender estime, dans une large fourchette, que le "like-jacking" rapporte 20 à 200 000 euros par jour en recettes publicitaires¨... (Lire la suite)

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/12/02/detournements-escroqueries-eviter-les-pieges-sur-facebook_1612866_651865.html#ens_id=1596700

* Et pour ceux qui aimeraient se renseigner davantage, cliquer et lire :  un livre blanc sur les arnaques les plus répandues sur Facebook.

Pégé

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