mercredi 3 avril 2013

Quick: quand les réseaux sociaux dévoilent les coulisses de l'entreprise !

Salut à tous,   

Du site Slate.fr : 

   ¨De plus en plus d'employés critiquent leur employeur ou dénoncent leurs conditions de travail sur les réseaux sociaux. Une situation qui inquiète les entreprises.

   C'est un ¨twittos¨ qui pourrait embarrasser Quick. Baptisé «Equipier Quick», son compte est apparu sur le site de ¨micro-blogging¨ le 1er novembre.

   Dans un ¨live-tweet¨ quasi quotidien, cet employé de la chaîne de ¨fast-food¨ raconte ses journées: la pression énorme subie, les abus de pouvoir d’un nouveau manager, les manquements à l’hygiène et les violations manifestes du code du travail.

   Avant de commencer à ¨live-tweeter¨ son travail, @EquipierQuick a «planté le décor» en se présentant comme «un équipier Quick de niveau 1», qui travaille 22 heures par semaine pour 700 euros par mois dans un «Quick Mystère» en sous-effectif depuis plusieurs semaines, et où ses conditions de travail se sont détériorées.
  
   Des menaces quotidiens sur certains de perdre le CDI "tu veux le perdre ton poste hein?" répété plusieurs fois par jour dans ce #Quick.
— Equipier Quick (@EquipierQuick) Novembre 2, 2012¨... (Lire la suite)

http://www.slate.fr/story/64995/equipier-quick

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*Equipier Quick, de Twitter aux tribunaux !

   ¨Fin novembre, nous évoquions les accusations portées par un salarié contre la chaîne de restauration rapide. Une affaire qui vient de rebondir avec l’annonce d’une plainte de Quick. Comment risque de se dérouler la procédure?

   L'affaire ira donc devant les tribunaux. Deux mois après l’ouverture du compte @EquipierQuick sur Twitter, sur lequel un employé anonyme décrivait les conditions de travail difficiles, les abus de pouvoir d’un nouveau manager et les manquements à l’hygiène dans un restaurant tenu secret, la chaîne de restauration rapide a annoncé par un communiqué, jeudi 3 janvier, qu’elle comptait, «par voie de justice, mettre @EquipierQuick face à ses responsabilités et l’obliger à assumer les conséquences de ses agissements».

   Dans un un article publié le 22 novembre dernier, cet «équipier Quick de niveau 1» avait expliqué sa démarche à Slate.fr. Il expliquait travailler 22 heures par semaine pour 700 euros par mois dans un «Quick Mystère» en sous-effectif depuis plusieurs semaines, et où ses conditions de travail s’étaient détériorées.

http://www.slate.fr/story/66845/equipier-quick-twitter-plainte-justice

Pégé

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